lundi 22 février 2010


HAITI ? DOMMAGE QUE LES GENS SE SERVENT DE TOI……………..


Le 12 janvier, tout le monde entier fut secoué par un séisme de magnitude 7 sur l'échelle de Richter que subissait Haïti. Ce pays déjà très pauvre venait à être secouer par un drame lamentable. Les grandes puissances se sont mobilisés, les pays pauvres aussi, chacun selon ses moyens. Haïti est resté au centre de l’actualité mondiale pendant plus d’un mois. Le séisme a fait plus de 200.000 morts, des milliers de blessés et 1 million de sans abris. Les Etat- unis et la France ont été de ceux la qui ont foulé le sol haïtien en premier, belle initiative, mais toute suite on s’est rendu compte que ni les victimes, ni la catastrophe n’intéressait ces vautours. La France n’a jamais pardonné l Haïti d’avoir pris son indépendance en 1804 et a tout fait pour que ce pays soit dans le noir. Sinon comment expliquer que depuis ce temps là, aucun président Français ne s’est rendu dans ce pays, ancien colonie française. Avec cette catastrophe la France voulait redorer son image. Sur les medias français l’on ne fait que revenir sur l’exploit des secouristes français, des médecins et de l’aide apportée. La france, au lieu de se concentrer sur l’urgence dont a besoin ce peuple qu’elle a détruit pendant longtemps, n’a fait que s’inquiété de voir Haïti se rapprocher de plus en plus des USA durant cette période de catastrophe. Elle se voyait arracher les marchés de reconstructions et son influence sur Haïti. C’est aberrant, cynique même à la limite car les enfants, les femmes sont entrain de mourir par manque de nourritures, de dortoirs et des personnes s’amusent à discuter de leurs sorts comme si c’était des objets. Je ne suis contre l’aide personne, mais que l’on se sert du malheur des uns d’une manière flagrante pour assouvir son autorité sur le plan international, je dis que c’est dommage.

Quand !!!Quand !!! Les noirs comprendront que toute cette aide est la somme d’explosifs et de cadeaux empoisonnés que nous recevons de la part des gens qui veulent notre mort.