Oumar
Sarr et ses camarades sont sur le pied de guerre car les "attaques"
viennent de toute part. La traque des
anciens dignitaires si l’on peut l’appeler ainsi et la levée de l’immunité de
trois de ces députes ne donnent pas de replis au Parti Démocratique Sénégalais.
Hier soir, les libéraux se sont réunis pour une stratégie commune en vue d’arriver à bout
de cette impasse qu’ils traversent. Ils affûtent leurs armes et se préparent à
la convocation de toutes les fédérations pour dévoiler leur capacité de
résistance. Et pour ce faire ces derniers comptent user de tous les moyens légaux
contre le régime de Macky Sall. Après la convocation dans les prochains jours
de l’ensemble des fédérations, Omar Sarr et les autres veulent poursuivre la résistance
par des audiences avec les ambassades accréditées au Sénégal. « Nourri à
la serve de la résistance, le Pds ne baissera pas les bras », soutient
Babacar Gaye.
samedi 5 janvier 2013
Levée de l’immunité : Babacar Gaye évoque les "privilèges de juridiction"
Le
procureur spécial près de la cour de répression a cru devoir respecter les lois
et règlements du pays en actionnant la
procédure de la levée de trois députés du Pds, mais Babacar Gaye et ses
camarades ne sont pas du même avis. Car
selon lui les procédures actuelles ne permettent pas à l’actuel procureur d’engager
des poursuites contre d’anciens ministres qui bénéficient de "privilèges
de juridiction". Pour en dire plus le Pds compte donner un point de presse
ce dimanche après-midi afin de rendre public la décision du groupe parlementaire libéral. Babacar
Gaye ajoute que les différentes rencontres permettront de réunir dans 15 jours
toutes les fédérations en vue de poursuivre les
audiences avec les représentations diplomatiques accréditées au Sénégal,
et d’informer les partenaires sur l’état de la démocratie, des droits de l’homme
et de l’administration de la justice.
Demba Bâ dédie sa signature à Chelsea à sa mère
Qui
n’aimerais pas voir son fils jouer dans une prestigieuse équipe de football et
être sous le feu des projecteurs. En tout cas la maman de Demba Bâ doit être
très heureuse de l’exploit et la joie
que lui procure son fils. Ce dernier vient de signer à Chelsea pour trois ans
et demi, et en cette circonstance particulière il a pensé à sa maman et lui
dédié ce contrat qui est l’aboutissement de dures années de travail pour lui. « Hier
je regardais derrière en me disant : oui ça y est, je l’ai fait. Je suis vraiment fière
pas seulement pour tout ce monde qui m’a supporté toutes ces dernières minutes,
mais pour mon agent qui a toujours été là pour moi depuis que j’ai 15 ans. Et
aussi à ma mère qui s’était inquiétée
quand j’ai séché les cours pour aller jouer au football. Aujourd’hui je suis
vraiment fière pour toute ma famille » a déclaré Demba Bâ après la
signature.
Traque des biens mal acquis : les preuves qui accablent les Wade
Libération
révélait hier dans son édition du jour le nom de deux sociétés immobilières :
Synka et Yakaar, au nom des Wade à
Versailles et à Paris. Tout démontre que ces sociétés ont été créées après 2000,
c’est-à-dire après l’accession de Me
Wade au pouvoir. Aujourd’hui le journal donne des détails sur la gestion de ces
entreprises et leur domiciliation. La même source indique que plusieurs preuves
sont consultables à cet effet aux greffes de Versailles et de Paris. Ces
documents prouvent que Synka est dirigée par la nommée Aïda Wade, pour ne pas
dire Sindiély Aïda Wade. Cette société qui compte parmi ces actionnaires
Viviane Wade, est domiciliée au "13 avenue de la Maye 78000 Versailles",
elle a été créé le 1er Novembre 2001, son capital social est de 2000 euros. La
compagnie Yakaar, comme la première, s’active
dans le domaine de la location et d’autres biens immobiliers et est née trois
années après Synka, son adresse est "27 avenue Pierre 1er Serbie 75116 Paris
16". Son siège est immatriculé auprès des greffes de Paris. Ces deux
dossiers ont été versés par les avocats de l’Etat dans la plainte déposée
devant le Parquet de Paris.
Licenciement abusif à la 2STV : Des journalistes comptent trainer El Hadji Ndiaye en justice
Sale temps dans la presse, le directeur général
de la 2STV, El Hadji Ndiaye vient de se débarrasser de 5 de ses employés. Ces
derniers parlent de licenciement abusif et compte ester en justice. Selon Enquête, El Hadji Ndiaye a mis à
exécution sa décision de réduire de 25 % son personnel. Ce sont les journalistes Mody Gaye, Moustapha
Ndoye, Oumy Ndoye, du technicien monteur Alioune Diop et du technicien vidéo Pape Samba Wane. Le
motif invoqué par la lettre de licenciement est : abandon de poste et
insubordination. Ces cinq professionnels de la communication comptent se battre
pour faire respecter leurs droits, de ce fait ils veulent traduire leur
ex-patron en justice. Contacté par le quotidien Enquête, El Hadji Ndiaye s’est
contenté de lancer « je les ai licenciés. S’ils ont des arguments, ils n’ont
qu’à aller là où ils veulent ».
Farba Senghor recadré par la CENA
Six
mois après les scrutins législatifs de juillet, l’ancien ministre a peut-être
digéré sa mésaventure d’alors. Dans une
lettre adressée à la Commission électorale autonome(CENA), Farba Senghor s’était plaint d’avoir été
expulsé par des gendarmes préposés à la sécurité du bureau de vote de l’école
Baytir Sambe de Ngor, alors qu’il était candidat. Selon la CENA, il n’est pas
du ressort de cadre du Pds de donner une interprétation des textes, ce rôle
incombe à la CENA qui lui a précisé qu’à l’exception des membres nommés par arrêté
de l’autorité administrative, aucune autre personne, quelle que soit sa qualité
n’est autorisée à stationner dans le bureau de vote. De plus " la police
des bureaux de vote est de compétence exclusive du président du bureau et
celle du lieu de vote est
du ressort des forces de sécurité".
vendredi 4 janvier 2013
Ansar Dine veut l’autonomie du nord du Mali et y appliquer la loi islamique
Ansar Dine, l’un des groupes islamistes armés occupant le nord du Mali, réclame une large autonomie pour cette région et exige de pouvoir y appliquer la loi islamique, selon sa plateforme politique remise au président burkinabè Blaise Compaoré, médiateur régional.
Dans ce document remis le 1er janvier à M. Compaoré et que s’est procuré vendredi le correspondant de l’AFP à Ouagadougou, Ansar Dine, groupe surtout composé de Touareg maliens, affirme renoncer dans l’immédiat à une sécession du Nord mais réclame une large autonomie dans le cadre d’un Etat refondé du Mali se démarquant sans ambiguïté de la laïcité.
Avant toute chose, il faut que le caractère islamique de l’Etat du Mali soit proclamé solennellement dans la Constitution, indique ce texte de 17 pages, en invoquant le fait que le peuple malien est musulman à plus de 95%.
L’observance stricte de la loi islamique sur tout le territoire de l’Azawad (région nord du Mali, ndlr) est un impératif non négociable, souligne en outre le groupe. Il justifie les châtiments corporels mais promet de tenir compte de l’air du temps dans l’application de certaines dispositions de la charia (loi islamique).
Ansar Dine (Défenseurs de l’islam) est l’un des groupes islamistes armés dominant le nord du Mali depuis juin, avec les jihadistes d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et du Mouvement pour l’unicité et le jihad en Afrique de l’Ouest (Mujao). Tous prônent l’application de la charia, au nom de laquelle ils commettent de nombreuses exactions.
Sous la pression du Burkina Faso et de l’Algérie, les deux pays médiateurs, Ansar Dine avait annoncé fin 2012 renoncer à appliquer la charia dans tout le Mali, mais seulement dans ses zones d’influence, et s’était dit disposé au dialogue avec Bamako.
Mais le chef du mouvement, Iyad Ag Ghaly, a annoncé jeudi que son groupe retirait son offre de cessation des hostilités, en accusant le pouvoir malien de ne pas être prêt au dialogue.
Le 20 décembre, le Conseil de sécurité de l’ONU a adopté une résolution approuvant le déploiement d’une force armée internationale au Mali pour déloger les islamistes armés, sans préciser de calendrier. L’ONU a toutefois indiqué que ce déploiement était programmé par étapes et a appelé les autorités maliennes au dialogue avec les groupes armés rejetant le terrorisme et la partition du Mali.
(©AFP
Boateng victime de chant raciste
Lors
du match amical entre la Pro Patria (4ème division italienne) et le Milan Ac,
hier jeudi, le milieu de terrain Kevin
Boateng a été victime de chants racistes de la part du public. L’international
ghanéen s’est emporté avant de quitter la pelouse, suivi par l’ensemble de ses
coéquipiers après seulement vingt-six minutes de jeu. Un coup de gueule
collectif qui a contraint l’arbitre à interrompre cette rencontre.
Madiambal vient au secours de Me Amadou Sall
En
voie d’être jugé le 22 janvier prochain pour offense au Chef de l’Etat, Me
Amadou Sall est secouru par Madiambal Diagne. Le patron du Quotidien a écrit
une lettre demandant à Macky Sall la clémence envers le dignitaire du Pds.
Parlant de la lettre, le président de la République a signifié qu’il donnerait
suite à la missive. La question est de savoir si le président demandera au
Ministère de la justice d’instruire le Parquet général d’abandonner les
poursuites contre l’avocat Amadou Sall ? Selon Libération, l’homme
fort du Sénégal, informant le gouvernement de l’initiative de Madiambal Diagne a juste déclaré en Conseil
des ministres: « je vais donner suite à cette lettre ». Me Amadou
Sall est toujours en attente de son jugement, d’ici là on en saura plus de la
décision de Macky Sall face à cette situation. Ce n’est pas la première fois
que le président des patrons de presse prend pareil initiative. Dans l’affaire
Malick Noël Seck, il n’avait pas hésité à prendre sa plume et demander à Me
Abdoulaye Wade, d’accorder la grâce présidentielle au leader de Convergence
socialiste.
Que reproche-t-on à Ousmane Ngom et Oumar Sarr ?
Ce
n’est pas la joie au Parti démocratique sénégalais en cette nouvelle année, les
balles viennent de tous les côtés. La dernière en date est nul doute l’affaire
de la levée de l’immunité parlementaire dont fait objet Me Ousmane Ngom, Oumar
Sarr et Abdoulaye Baldé. Mais que reproche-t-on au coordinateur du Pds et à l’ancien
Ministre de l’Intérieur. Libération informe que ces deux personnes sont ciblées
dans trois affaires les concernant directement. Outre les vérifications de
patrimoine, Oumar Sarr, une fois son immunité levée fera face à deux autres
dossiers, il sera entendu par la division d’Investigation Criminelles (DIC)
dans le cadre du plan Jaxaay et l’autre affaire concerne l’achat de produits
phytosanitaires qui avait été évoqué par
le premier ministre Abdoul Mbaye. Toujours selon la même source, Ousmane Ngom
aussi, après la vérification de patrimoine, sera entendu par le procureur pour une affaire
qui fait suite à un rapport de la Cellule nationale de traitement des informations
financières (Centif), et le dernier dossier concernant l’ancien ministre est
celui relatif au rapport de la Cour des comptes sur le scandale du marché des
passeports numérisés.
La
levée des immunités de ces anciens dignitaires suscite l’interrogation suivante
sur l’attitude du pouvoir : volonté de faire la lumière sur des dossiers
importants ou simple stratégie politique pour neutraliser l’opposition ?
Karim Wade bouscule la hiérarchie
Le
fils de l’ancien président Me Abdoulaye Wade fait encore parler de lui, mais
cette fois-ci en bien. Car il est aux coudes à coudes avec Macky Sall au classement
général des personnalités politiques sénégalaises. Le rejeton de Wade est classé premier par
les catégories de populations jeunes, et femmes. C’est le résultat d’un
sondage réalisé par le cabinet International communication (Intercom) dans la période
du mois de décembre. Il est suivi Pape Diop, Moustapha Niasse, et Ousmane Tanor
Dieng. La surprise est qu’en ce moment
Karim Wade qui fait objet de procédure judiciaire et a réussi a bousculé cette
classe politique établie depuis un bon moment, en devenant la personnalité
politique la « mieux aimée » par les jeunes, 35%, devant Macky Sall
30%, Pape Diop 20%. L’ancien tout puissant ministre vient ainsi semer le doute
dans la tête des « doyens ».
Biens mal acquis : France 24 perce les premiers secrets de la procédure enclenchée par le Parquet de Paris
Dans
un reportage, la chaîne française France 24
a réussi à percé les premiers secrets de la procédure enclenchée à Paris,
pour permettre à l’Etat du Sénégal de rentrer dans ces droits. Le parquet de
Parquet de Paris suite à une plainte de l’Etat du Sénégal a ouvert une
procédure dans le cadre des biens présumés mal acquis. Me Simon Ndiaye, avocat
sénégalais, basé à Paris a livré des informations au micro de France 24. Il informé
que l’Etat du Sénégal a formellement identifié des avoirs immobiliers détenus à
Paris par d’anciens dignitaires du régime. Deux sociétés sortent ainsi du lot
Sinca- contraction des noms de Karim et de Sindiély et Yakaar qui gère deux
biens immobiliers dans le seizième arrondissement de Paris.
Interdit de Magal : les conducteurs de vélos-taxis du Saloum haussent le ton
La
118 édition du Magal n’aura pas été satisfaisant pour tout le monde, car du
côté des vélos-taxis c’est la grogne. Ils ont été victime d’un arrêté
ministériel interdisant leur circulation en direction de la cité religieuse de
Touba. Une mesure, nous informe
Libération, qui leur est restée en travers la gorge. Ils exigent des autorités la restitution des engins réquisitionnés,
au nombre de 200 et une abrogation de la décision ministérielle. Au cours d’un point
de presse, Ismaila Diouf, président d’une association de conducteurs s’en est
expliqué : « Le Magal de Touba est un évènement où chacun y va
avec ses moyens. Exiger des conducteurs de vélo-taxi d’utiliser d’autres véhicules
que les leurs, c’est injuste. Car celui qui a une berline l’utilise au même
titre que celui qui a une charrette ».
Magal : Des pèlerins toujours à Touba pour profiter de l’abondance de nourriture
Les
maisons des différents marabouts ne désemplissent pas, quelques bœufs restent
encore visible nous raconte l’envoyé de Direct Info à Touba. Certains pèlerins
prolongent leur séjour et refusent de quitter la ville sainte malgré la fin du
Magal. Et ce, à cause de l’abondance de nourriture qui est de mise. Selon le
quotidien il y a de la viande et du poulet à gogo, et l’hôte a la multitude de
choix entre le « Thiou Yapp », Thiebou yapp » ou « ganar ».
C’est dire que le festin, pardon le pèlerinage continue pour les disciples qui
veulent quelques peu oublier la difficile vie de Dakar.
Confiserie du Ndiambour : La Cour suprême blanchit Serigne Mboup
C’est
la fin de l’épisode opposant Serigne Mboup, Directeur général de CCBM à d’anciens
travailleurs de la Nouvelle confiserie du Ndiambour. La plus haute juridiction
vient de déchoir les plaignants de leur pourvoi. Ordonnant ainsi le non- lieu à
l’égard de Serigne Mboup. La partie civile avait un mois pour produire une
requête répondant aux conditions de l’article 35 et contenant ces moyens de
cassation, après avoir déclaré au pourvoi. Mais celle- ci n’a pas été produite,
d’où la déclaration de déchéance prononcée par la cour.
« Nous sommes favorables à la levée de l’immunité des députés Pds » Moustapha Diakhaté
Benno
Bokk Yakkar est vraiment décidé à achever ce qui reste du parti de Me Wade. Le
président du Groupe parlementaire de la majorité, Moustapha Diakhaté, joint par
Walf a dit être favorable à la révocation de l’immunité des trois honorables du
Pds, en occurrence, Oumar Sarr, Abdoulaye Baldé et Ousmane Ngom. La même source
aussi révèle que Modou Fada et ses amis aussi se préparent à une riposte, mais
laquelle, nous ne saurions le dire. La plénière pour procéder à l’acte est
prévue à l’Assemblée nationale le jeudi prochain.
jeudi 3 janvier 2013
Pas de liberté provisoire pour Ndongo Diaw, pas maintenant
Pas
de liberté provisoire pour l’ancien patron de l’Autorité de Régulation des Télécommunications
et Postes, le doyen des juges maintient sa détention. Selon As Quotidien, Malgré le refus du doyen des juges, les conseils de Ndongo Diaw ne
se découragent pas pour autant car ils ont introduit un recours devant la
Chambre d’accusation de la Cour d’appel de Dakar, espérant bénéficier de la
même baraka que les anciens collaborateurs Mamadou Yaké Bâ, son ancien
comptable et le chef du service financier Léon Sagna. L’ancien directeur de l’ARTP
a été arrêté suite à une plainte de son remplaçant Thierno Alassane Sall,
plainte confirmé par le patron actuel de la boite Abou Lô.
Les forces de l’ordre n’ont pas chômé pendant le Magal
La
118 édition du Magal aussi aura vu son lot d’interpellation, dont 3 pour meurtre.
De concert avec la gendarmerie nationale, les éléments de la police ont procédés
à 137 interpellations a révélé le
directeur de la sécurité publique Demba Sarr dans les colonnes de l’As Quotidien.
En
plus des 180 éléments du Groupement mobile d’intervention (GMI) qui ont été
déployés à Touba, 1287 éléments de la police ont été mobilisés dans la zone de Diourbel pour garantir la sécurité
des personnes et des biens en cette grande rencontre religieuse. Une fois les
opérations de sécurisations sectorielles lancées et menées par la police et la
gendarmerie, les résultats ne sont pas faire attendre. Et selon le commissaire
Sarr, cette stratégie a été fructueuse, vu le nombre d’individus arrêtés, trois
pour meurtre suite à des bagarres, certains pour trafic de stupéfiants,
escroquerie, abus de confiance et autres. Les limiers ont mis la main sur 50
cornets de chanvre indien, 250 grammes de chanvre indien en vrac, 40 paquets de
cigarettes et une bouteille de Wiskhy. Il faut ajouter que parmi les
interpellations, 80 personnes ont été arrêtées suite à des vérifications d’identité.
Escroquerie : Habib Diarra porte plainte contre Salam Diallo et son manager
Cette nouvel année 2013 commence déjà mal pour
certaines personnes, en occurrence l’artiste musicien Salam Diallo qui fait l’objet
d’une plainte. Ce dernier et son manager
sont accusés de n’avoir pas respecté leur
engagement à propos d’un évènement en Mauritanie le 13 et 14 décembre dernier.
Le promoteur de spectacles Habib Diarra est très remonté contre le chanteur
nous apprend le quotidien Enquête. L’artiste a brillé par son absence, en plus
il n’a pas remboursé les 500 000 perçu en guise d’acompte sur un cachet de
1 million pour le spectacle. Aux dires du promoteur, le problème de vol est parti d’un décalage de vol
par la compagnie aérienne. Pour ce
dysfonctionnement il aurait demandé à l’artiste de rentrer en voiture 4X4, ce
qui n’ pas été du goût de ce dernier, qui a décliné l’offre. Devant cette mésentente, Habib Diarra a voulu
récupérer l’acompte versé. « Lorsque j’ai appelé Pape Diop le 11 décembre
pour lui réclamer mon argent, il m’a renvoyé auprès de Salam Diallo qui m’a dit
qu’il n’avait pas l’argent », s’est exprimé le promoteur, il ajoute que depuis
lors, l’artiste ne répond plus à ses appels. Toujours selon Enquête, impuissant
qu’Habib Diarra a décidé de porter l’affaire
devant la justice, il vise par cet acte l’artiste et son manager Pape Diop.
Musique : Après Les Kora, Aida Samb et Gelongal visent les Grammy Awards
Primés le 30 décembre dernier Abidjan à la dernière édition des Kora Awards, Aida Samb
et le groupe Gelongal sont rentrés à Dakar
la tête pleine de projets d’objectifs à atteindre.
L’artiste
chanteuse primée dans la rubrique meilleur
musique traditionnelle ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et déclare ne
plus avoir droit à l’erreur, elle envisage de travailler encore davantage pour
montrer le mérite qu’elle a d’avoir ces prix.
Le même engagement se retrouve avec Gelongal qui vise désormais les
Grammy Awards et les prestigieux concours américains. « On veut
aller plus loin. On veut travailler encore plus pour donner un Grammy Awards
pourquoi pas » a fait savoir Samba Mballo dans les colonnes d’Enquête.
Décret présidentiel : Macky Sall plafonne les salaires des directeurs d’agences de l’Etat
Chose promise, chose due, le président de la
République, on s’en souvient avait promis de revoir à la baisse le salaire des
directeurs des agences et sociétés de l’Etat.
Ces derniers avaient des salaires compris 10 millions et plus de
10 millions de nos francs. C’est fait Macky
Sall a posé l’acte qui rend sa promesse
possible, en signant le décret
plafonnant à 5 millions tous les salaires des Dg des sociétés et agences contrôlées
par l’Etat.
Ainsi selon le Populaire qui donne cette
information, rares seront les Directeurs généraux à pouvoir avec cette mesure s’offrir des
émoluments allant au-delà du plafond établi de 5 millions de FCFA.
« Le mouvement des forces vives du 23 juin (M23) n’est pas mort » Alioune Tine
Selon le
président de la Raddho, Alioune Tine, le
mouvement des forces vives du 23 juin n’est pas mort. Après quelques longs mois
d’absence sur la scène, il va tenir une
assemblée générale le 12 janvier.
« Le M23 va continuer à être un
mouvement citoyen qui va défendre la démocratie, les droits humains, la bonne
gouvernance », a-t-il dit jeudi sur les antennes de la Rfm. A en croire le
défenseur des droits de l’homme le M23 continuera
de jouer son rôle de veiller sur la démocratie. « Tant que les gens vont effectivement
s’inscrire dans le cadre de la bonne gouvernance, dans le cadre du respect des
institutions démocratiques et dans le cadre du respect des droits humains, il
n’y aura aucun problème », a lancé Tine.
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