La
118 édition du Magal n’aura pas été satisfaisant pour tout le monde, car du
côté des vélos-taxis c’est la grogne. Ils ont été victime d’un arrêté
ministériel interdisant leur circulation en direction de la cité religieuse de
Touba. Une mesure, nous informe
Libération, qui leur est restée en travers la gorge. Ils exigent des autorités la restitution des engins réquisitionnés,
au nombre de 200 et une abrogation de la décision ministérielle. Au cours d’un point
de presse, Ismaila Diouf, président d’une association de conducteurs s’en est
expliqué : « Le Magal de Touba est un évènement où chacun y va
avec ses moyens. Exiger des conducteurs de vélo-taxi d’utiliser d’autres véhicules
que les leurs, c’est injuste. Car celui qui a une berline l’utilise au même
titre que celui qui a une charrette ».
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